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NUL PART

L’hiver s’annonçait  froide, que dans le cœur de bien des patriotes, par tout de poings élevés, des souvenirs d’autre temps, d’autre époque, par ici et ailleurs, tout un pays prêt à se éloigner d’un autre. Pendant que les femmes, mères, enfants avaient la misère sur la table, les gens dans la rue, sans un lit, un plafon, ils poussent les cadavres. La peur, les rats, tout envahi les villes, le conseille municipales fait des offres des gants et des bonnets, de temps en temps aussi de la soupe chaude et un morceaux de pain seul.  Je me trouve dans ma maison, de ma fenêtre je vois la place de la mairie.

Et puis  comme mon voisin, il embrasse le drapeau devant la marie, avant de donner de coups de pieds sur les gens qui attendent la soupe. Le voisin au dessus de mon appartement, qui était un rescapé de la  deuxième guerre, un médecin retiré, il regarde d’abord sur sa gauche puis sur sa droite. Toujours avant de traverser la rue, pour faire du mal au coin, fumer sa cigarette. Moi j’ai un prénom, et ce prénom venait de mon père, car, ma mère est morte, dans un accident de voiture.

Mon père avait dit à ma naissance;

-Ma pauvre fille! je vis t’appeler  Louise,  tu mérites le nom de ta mère, qui à l’air d’une institutrice bien belle!

Mon père était l’ancien maire du village, et qui à était égorgé à l’arme blanche, cette pour sauver un petit garçon ça crie à l’aide, sur les bras d’un homme qui voulais le kidnapper. Voila pourquoi j’ai étais si bien traitée dans mon village. La cloche de l’église annonça la nuit, le vent, la pluie, toujours dehors, tombe un gros fleuve. Mais devant mes souliers je marché comme si le chemin du monde s’était enfui, s’ approchant de la fenêtre je vois un chien berger, qui bougeait et qui tremblait, comme s’il voulu me dire “viens me sauver”. Mais les chiens étaient interdits dans les maisons, par ordre du nouveau maire. Longtemps au même endroit le chien, j’ai décidé de lui laisser entrer, en lui offrant un peu de reste du poulet que je garde pour la dame au premier, parce qu’elle est très age, elle peut pas sortir à cause de sa jambe malade, je lui offrirez les deux pommes qui me reste et un œuf frais.

Le chien en avait plus besoin que moi, il s’était donc installe dans la maison, sans être invité, venait y caresser mes jambes, Cette peut-être la providence, qui m’a offert le chien pour surmonter la peur des bombes qui commencent à tomber sur le village. Plus tard, long temps plus tard, quand tout est silencieux, le chien avait le nez moulé à la fenêtre, il regardé dehors.

Dehors avait l’air  d’être l’enfer, tout était détruit, je avait eu tellement peur, il y a eu dans le ciel une course d’étoiles filantes. Il ne reste plus que l’hombre de mon souvenir flue. C’et jour-là je assisté à mon enterrement, comme dans un mystère, où j’étais l’unique spectateur, je me suis fait l’effet d’être la règne d’un roi qui n’existe pas. Pourtant, je sentais l’odeur de lavande et la pointe d’acacia, que les temps fût au beau, je étais légère, tout  n’ensachant rien, c’est à dire finalement nul part.

C’est le propre du morts.

 

 

 

 

 

 


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