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LE CLIENT TUEUR

Je suis le portrait représentatif d’un avocat actif, ambitieux de faire une belle carrière, mais ce jour la, dans mon bureau, je compris que je pourrais faire une exception.Voici mon histoire.

Le matin à 11h 45 minutes, mon client devant moi, je devait lui informer pour son procès. Je lui parle:

-Les choses ne vont ainsi, dans le monde judiciaire, écoutez moi, il s’agit de les prouver juridiquement à des gents qui vont avoir intérêt de vous massacrer, ainsi vous actes seront discute quelque soit l’activité que j’y mettre. Touts vous adversaires demanderont une enquête, à la quelle nous ne pourrons pas refuser. le jury prennent les questions délicates au sérieux. Tandis que je lui parle, j’eu un  instant comme ses yeux étaient plains de feu. J’étais écuré et repousse parce que je voyais, le visage d’un monstre .

Il était pris au piégé avoué à une mort et une mort rapide, parce que nous étions seuls, il courrait le risque de cette révélation. Il levait vers moi des yeux furieux, mais il aurait décider de devenir l’homme agonisant de que les phrases devinrent affaibli, sa gorge fracasse, il se reprocha doucement. Les événements de ce dernier quart d’heure m’avait tendu à l’extrême, et mon cœur tictaquait rapide comme un horloge. Abaissant les yeux vers lui, cette facile d’imaginer que cette lui le coupable. Il me raconta la vérité:

-Ce nuit là, je devais faire disparaître le corps et nettoyer vite le sang avant que la lumière du jour ne rendis les choses plus difficiles. Il était facile d’imaginer que les restes de mon ennemi enveloppés dans un sac à plastic, un sac à poubelle, pourrait laisser des traces, les camions de ramassages de poubelles avait fait le tour de la rue, j’ avait intérêt  à me dépêcher! Je devais atteindre la grand rue avant qu’il arrive, je cours, je laissez le sac à cote d’un restaurant, là où ils laissent leur conteneurs à poubelle. Je parti au pas de course à travers la rue, mes jambes, mes bras et mes cheveux volaient en touts sens, comme s’il avait un démon derrière moi.

Sa voix n’était plus moins brutal, mais intense. En dépit de la chaleur d’été, mes dents se sont mis à claquer, je faisait autant de bruit comme un moteur d’avion. Sa victime un homme de nationalité canadienne qui avait été enlevée par lui, le rapport de l’autopsie je l’avais lu, le choc que la victime avait reçu à la tète et la grand quantité de sédatifs qui on l’avait obligé à avaler, et les deux coups de balles au ventre, la tué. Je mais suis précipité à lui rendre la main en lui donnant rende-vous au procès,  il inclina la tête, est puis il est parti, en me laissant un effet, l’effet affreux de ce genre de conversation.

J’ai voulu penser qu’il allait filé dans un planque sûre, en laissant un cadavre derrière lui, ce que après prendre mon souffle, j’ai prévenu la sécurité. Heureusement merci à mon enregistrement il a été arrêté à l’aéroport de Michigan.

 

 

 

 

 


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