“Non, non, je ne veux pas”, “C’est drôle, les hommes riches s’imaginent qu’ils peuvent tout avoir pour leur argent”. Et bien et si je ne veux pas?…
-Ah! L’argent ! ma pauvre, je crache dessus!”-
-A la fin tu est vexant, tu a l’air de être mal élevée!.
-J’aime les regards troubles, je ne suis pas malheureux!
-C’est bien, je comprends…
Elle avait ralenti la voix, se tranquillisant à la longue; elle à un sourire et ce sourire raillé, ayant levé les yeux sur lui , et lui dit :
-Alors, qu’est-ce qui te gêne?, ne soit pas donc naïf!, je besoin d’argent! Il y avait dans l’air un odeur de lavande, il faisait bon, elle ouvre la fenêtre, la tête bourdonnante. -J’aime mieux ça!, hein! quel monde! murmura-t-elle. “Vous ne vous imaginez pas le mal que j’ai avec ce monde là!, touts vaniteux les uns que les autres”.
-“Allons, donc”!. Au fond de lui, il s’en moquait , se montrant froid. “Nous restons là”! -“Ce serait très bien”… Elle fait un soupir, elle prend une coupe de champagne.
Les regarder touts les deux , vous comprendriez qu’il avait un intérêt caché. L’homme, était révolte et il la regardait fixement. Devant ce regard, elle vu une menace.
-“Vous voulez…il y a encore pour votre argent…”
-“Puisque nous sommes d’accord, nous allons terminer cette affaire”.
Et il l’emporta sans nier ses offres, pour ne pas perdre sa fortune.”La gloire avant la richesse”.
Et à présent, elle tremblait, cette puissance inconnue, cette vengeance des hommes, cela pourrait le faire disparaître. Elle lui demande:
-“Sois bien sage, je ferai de mon possible”! Pendant deux jours, ils ne quittent plus l’hôtel. Et lendemain elle disparaît, comme si elle n’aurait jamais existe.
Seulement un léger odeur à parfum pas cher reste de son pas. Lui, seul, avec son argent, sa richesse, son image d’homme d’affaires!. Il se gêné pas de tout recommencer, une fois de plus. Inutile de vous dire, que ce n’est que un cliche, car, touts les hommes d’affaires ne sont pas mal honnêtes. Mais…je avait besoin d’un pour mon histoire…I am sorry!