LE TAG

Selon le terme anglais, signifie, étiquette, graffiti.

Né à la fin des années soixante à New York, l’inscription d’un nom dans l’espace public urbain.

Des minorités, semblaient revendiquer l’appropriation des territoires, qui son en réalité des points de repère pour différentes bandes qui délimitent leur emprise sur une partie de l’espace urbain.

En 1988, plus de cent douze mille mètres d’espace parisien étaient recouverts de tags et de graffitis. Exprimant aussi le fait que les lieux de vie ne sont pas vivants.

Pourquoi est-ce que je t’explique?, cet à dire , que une des situations le plus visibles ce sont les espaces de travail.

Ces espaces, déterminant les contraints techniques de l’impact psychosocial, puisque l’objectif c’est que le système marche.

Une espace codé par une norme d’entreprise, un ensemble d’interdits, et toute tentative de personnalisation à travers une décoration quelconque de l’espace de travail apparaîtrait  comme non fonctionnelle et inapproprié, donc à rejeter.

Autrement dit: L’espace est une réalité organisée psychiquement à partir de la relation entre espace propre du corps et environnement extérieur.

Le moi et la réalité son un, l’enveloppe corporelle met en contact ce deux espaces.

La relation à l’espace peut influencer le comportement individuel et social, par des différents lieux d’existence: espaces résidentielles, espaces institutionnels, espaces de travail.

Et pourtant nous n’avons habituellement pas conscience de la prégnance de ces facteurs d’un langage silencieux.


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