Puis que la crise viendra à vos portes, aujourd’hui ou demain, comment ne pas les écouter. Nous sommes ballotes par la crise, ont à appris à refaire surface.
La crise a changé; elle s’installe bien à son aise, quand ont voit les mêmes CV, se réfugier virtuellement sur les réseaux sociaux, et que beaucoup des gens admettent qu’ils ont peu de chance de s’en sortir.
Ce qui donnent “Génération Zéro”, et la mèche s’allumerait vite, marques par la privation des droits humains de la personne humaine.
Peut-être parce nous continuons à nous laisser amollir dans la plainte alors que le monde se métamorphose; au risque de paraître du mouvais côté, je soutiens que s’indigner sur un canapé c’est pas l’idéale.
Chez nous comme ailleurs en Europe, les dirigeants ont pris des engagements qu’ils ne pourront pas tenir; car ils cherchent à obtenir les bulletins de vote et ils prétendent que l’électeur a raison.
L’optimisme a desserte notre époque?. Les gens se rend compte qu’il ne suffit de observer ni de critiquer la réalité.
Savoir s’ils vont passer l’action est une autre question. Les réseaux sociaux ont propagé les révoltes contre un système qui fait peur à tous. S’est érigé comme l’un des symboles médiatiques les plus étonnants du phénomène des rebelles sans frontières comme les Indignados(Esp), Piratent(D), ou Indignés(FR).
Mais il faut se épauler devant nos portes et penser qu’une minorité des gens motivés, voulant changer les règles du jeu, sont voués à échouer, les plus pouvres contre les riches, même si la morale n’est pas toujours bafouée.
La crise a fait près de 17 millions de chômeurs dans l’Union européen, autant que la Belgique et la Suisse réunies! Quand un désespéré se précipite sous des essieux de fer.
Plus rien n’est sûr!
Très chouette texte, efficace et se suffisant à lui même.
Continuez ainsi, je prend plaisir à vous lire depuis quelques jours déjà.