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LE PARADIS DANS LE CIEL

Le monde ne assume pas de me laisser face à mon désespoir, les bombardements de messages, qu’ils me sou-plient de les laisser venir, ne me font plus peur. La précarité de ne pas avoir un toit, ça ne me fait pas peur; je me souviens d’avoir eu un emploie qui m’a laisse un si maigre pension d’invalidité, mais, je me souviens aussi d’ acheter touts les trimestres un nouveau livre, quand je feuilleté les pages à la maison, je découvre des romans depuis longtemps oublies, mais ils restaient à moi.

Depuis des jours, je tentais de faire ce voyage, la question de ma santé ne me préoccupe pas. Je redoutée passer ma dernière soirée seul, avec mon chagrin. Quand  j’étais encore un homme, mon esprit était donc en train de plainer, des gents sont entrées chez moi, ont cru que j’étais mort. Je me suis réveillé à l’hôpital, les médecins on dit que la causse cette tout l’eau que j’ai dans le péricarde, qui m’en pèche de respirer. Mais moi je cherchait à imaginer la vie  que j’aurais eu avec elle. J’aurais du m’enfuir avec elle, avec elle la vie était amusant. Je me souviens que j’étais un garçon très gentil, maintenant je me suis renfrogné, remplié sur moi-même, mais au bout d’un certain temps, le oiseau s’envola.

Dans la fenêtre il y avait un ombre, , mais cette ombre n’est peut-être que mon imagination. Dans la chambre de l’hôpital j’ emporte ma tasse de café, assis à  l’extrême de mon lit, je écouté les visiteurs dans les autres chambres, moi, je recevait personne. Dans l’espoir désespéré de faire renaître un certain animation, peut être l’âge m’avait rendu aussi pathétique, que le siècle qui s’achevait. Pourtant, qui peut me juger, ça me regardait en vie. Le terreur de découvrir que mon corps portait la détérioration, j ‘avais la conviction d’avoir cesse d’en être le reflet de la vieillesse. Quand les gens se trouvent dans l’erreur, le corps se doit de l’informer;  je regarde par la fenêtre, des particules de soleil  s’introduisent dans la chambre, je viens d’attendre le fauteuil,  ce qui me don une allure pitoyable; sur le point de pleurer, je éprouvait quelque chose d’inattendu, que j’ avait envie de hurler. Les yeux écarquilles, le souvenir de l’avoir serré de toutes mes forces, le jour qu’au après la guerre, nous nous sommes séparé. Elle avait un visage bien jolie, soudain et sans m’attendre, je me suis senti immobile, comme si un souvenir venait de me traverser la mémoire, mais sans me sentir  mal à l’aise. Je savais à quelles formes nos esprits devaient se rencontrer, et les formes qu’elles devaient prendre, par mon imagination.

En quelques moments tout avait flambé à nouveau, et qu’il n’existé pas de plus preuve d’amour que celle de se sentir mourir, comme Astrophed et Stella dans les sonnets de Shakespeare. Notre amour  était plus vraie , condensé par des particules lumineuses, je savais que cette elle, qui me permettrait voir sans frontières les plus rapproché de la mort. Je l’aimerais , j’aime son âme et son cœur qui sont à moi, ; je l’aimerais encore au-delà. J’ai embrasse ce qui me vient d’elle;  elle pense aussi que je ne reviendrait jamais.  Mon cœur déchiré de chagrin et d’amour, je fermé mes yeux, et disparaît dans l’atmosphère, en laissant la parfaite image spectrale que chaque visage dissimule confusément. J ‘y rapporté bien des passions, bien des espérances, toujours brisées, son calme béni sur moi; j’étoufferai là maintenant , comme un plante privée de soleil…

Je serais début, bien loin de vous, il y a pas des escaliers pour monter; il le temps est parti. Il y à pas un vie éternelle maudite et déshéritée, dans ce ciel .

J’ai été bien calme et si bien froid en vous disant adieu.


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