On n’est si malheureux qu’ on imagine connaitre jusque à quel point on désir ce l’on n’a pas, tout devient moral de que on est à la recherche du temps perdu. Les malheurs des autres nous sont indifférents, au moins qu’ils nous fassent plaisir, nous querellons les malheureux pour nous dispenser de les plaindre, c’est qu’on peut éviter à force d’argent, se dire que le malheurs des autres fait le bonheur des autres. Le malheurs se plait à la surprisse, un malheurs n’arrive pas tout seul, la prospérité ne peut comprendre les délicats de l’infortune, c’est ça pour te rendre plus compatissant aux maux des autres?.
Manger pour vivre, et ne vis pas pour manger, j’entends la plus parfaite moral qui fait des progrès, qu’on à l’esprit curieux et les yeux mouvais, la sottise redouble pour établir l’empire des préjugés, des maux penses et des maux à venir, mais les maux triomphent, la nécessité est plus humaine. Les systèmes sont des toiles d’araignées qui donnent des maux passés et des maux à venir. Le peuple, c’est l’enfant bien sage qui fait la grimace dés qu’on a les dos tourné, c’est le peuple la raison à l’usage, la conscience à l’opinion, jamais les grands ils ne montrent d’intérêts, seulement ses apparences. Celui qui se place par le seul effort de sa raison, n’attend rien, et il leur fait tout leur bien dont il est capable.
Le sentiment que l’humain supporte le plus difficilement est la pitié, elle affaiblit encore notre faiblesse, la pitié compte les souffrances, et non les crimes du coupable. De la haine pour un seul ennemi, chacun est éloquent pour défendre son différent, toujours consoler? ou se plaindre?. Il faut se résoudre à apprendre beaucoup des choses qu’on sait par des gens qui les ignorent, Lorsque nous on est épuisé, on pleure pour être plaindre, on pleure pour être pleuré, se réchauffer par le signe de mouvais temps. les femmes pleurent et les femmes rient quand ils peuvent, petit pluie avant grand vent.
La poésie s’interroge, le philosophe se regarde. Les gros poissons mangent les petits, si les poissons sautent dans l’eau en grand torrent, grand poisson se prend. La politesse est la fleur de l’humanité, elle aplanit les riches, les rides, elle fait paraître l’homme au dehors comme il devrai être intérieurement, mais n’inspire pas toujours la bonté, si non l’art du possible.
Les corps politiques ils ne vivent que des remèdes, mais elle dévore ceux qui s’impliquent en lui imposant la nécessité de modérer ses ambitions et ses violences. La puissance ne consisté pas à frapper fort ou souvent, mais à frapper juste, le terme de l’habilité de gouverner sans la force. S’il fait beau, prend ton manteau; s’il pleut, prends-le si tu veux. Nous promettons selon nos espérances, et nous tenons selon nos craintes. On promet beaucoup pour se dispenser de donner peu. La prospérité fait peu d’amis, le profit d’un fait le dommage de l’autre. Ont ne va jamais si loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va.