Cela vaut la peine de prendre quelques minutes à lire, je vais vous parler de Emile Zola. Écrivain naturaliste français (1.840-1.902), à publie son premier roman “Contes à Ninon”, Puis il devient un journaliste influencé par les études de psychologie des passions, ses ouvres de “Rougon-Macquait”, il donne la parole à l’affrontement des forces naturels soumises au environnements sociale. C’est la série “L’assommoir”, qui lui apporte la célébrité. Son célèbre ” J’accuse”, du 13 janvier de 1898 et sont procès lui oblige à s’exiler en Angleterre,. Séduit par ses idées socialistes, veut donner un vision de l’homme réaliste. Malheureusement il meurt.
Son roman “AU BONHEUR DES DAMES”, l’avait vendu en un journée et à la fois, au total de plus de 60.00 exemplaires, et ceci donne un procédé successives d’un ouvrage qui lui donné la réussite. C’est qui est d’intéresser est la formidable façon de nous raconter les témoignages historique et social Empire. Zola privilège la scène qui orientent, anticipent, la lecture de la fin. Personne ne pourra plus lire ses ouvrages sans ressentir ce que Zola raconte avec génie les spéculations de la vie, du modernisme et avec des techniques révolutionnaires de l’époque. La mise en place de la Troisième République laisse espérer un progrès social dont les bénéficiaires seraient les employés.
- “Tout arrive et rien n’arrive. Autant rester les bras croisés.
Alors, il dit son pessimisme, les médiocrités et les avortement de l’existence. Un moment, il avait rêve de littérature, et il lui était resté de sa fréquentation avec des poètes une désespérance universelle. Toujours, il concluait à l’inutilité de l’effort, à l’ennui des heures également vides, à la bêtise finale du monde. Les jouissances rataient, il n’y avait pas même de joie à mal faire”.
Zola,”Au Bonheur des Dames”.
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