PILE D’IDÉES

J’ai de nombreuses idées, aux origines les plus diverses, mais l’idée juste, la bonne idée, sont volatiles, les autres ne font pas partie des choses qui ont du poids.

Il faut que mon cerveau admette qu’il existe différence entre l’idée petit et le grand, l’un impliquant  les différents de ceux de l’autre. les sauts qu’elles obligent à faire et qu’elles peuvent offrir à l’esprit que réside leur intérêt.

Ceux de nous autres qui sont capables de une forte énergie peuvent se permettre de la dépenser sans cesse pour remonter la pente. Je n’avais pas compris, la suite à un nouveau malentendu : Politique-Journalisme-Expression

Puis, devant mon incrédulité, toute la matière rédactionnelle engrangée en réalité serait remise à une rédactrice chargée  de faire l’article. Aujourd’hui ma vision de la société est beaucoup plus proche de la conception américaine, une espèce de jungle, chacun doit trouver sa place.

Celui de la lutte de l’indispensable compétence.

L’acte d’une idée  qui n’entrant dans aucun cadre échappe à toute prévision, l’acte en tant que tel l’acte gratuit est inacceptable.

Une sorte de jeu à faire semblant de tuer l’autre, consiste donc à faire peur à la victime.

Peu importe comment le cerveau manipule, nous sommes plus proche du sol que des feuilles(l’arbre de la connaissance). Trouver un compromis, c’est-à-dire que caractère “prédéterminé” des idées est évidemment important.

Pour lutter constamment contre cette tendance, ont à besoin de nous fixer un cap, là je croyais avoir trouvé l’idée fondamental.


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