VICTIMISATIONS

J’ai réfléchie sur le présent, dans les réseaux sociaux que nous avons vu comme des victimes qui se sont manifesté touts les samedis à Paris ou par tout la France, ils sont des victimes, malgré  que certains ne veulent pas le reconnaître.

Les  frustrations des victimes est trop suivent négligée et blâmée; je dois mettre en évidence deux formes :

“La victimisation chronique et la violence dominatrice”.

La premier comprend essentiellement des violences infligées par des personnes en relations suivies avec la victime. La seconde et dirigée vers les plus faibles. Je le vois dans la actualité de touts les samedis.

Le désordre que la agression provoque dans la vie des victimes et des proches, on lui interdit de connaître la vérité, sur les motivations de le passage à l’acte pour apaiser la victime. Ce qui nous voyons samedi après samedi.

La reconnaissance par l’infracteur (que ne doit échappe pas à la sanction pénale), est une action au bénéfice des victimes. C’est par le respect de leurs droits respectives, dans le cadre d’un procès équitable, ce jour-la.

Jusqu’à  la fin du Moyen Age, les victimes ” sont tombes aux oubliettes”, elle demeure encore et sur tout abandonnée. Les droits des victimes restent toujours incertains; mais pas oublié.

L’obligation de l’Etat à indemniser ou insistant d’avantage sur les principes de solidarité social. Dans le même esprit la Commission Européenne apporté sa réflexion sur le nombre et mesures à prendre.

Quelque soit l’aide, la participation des victimes aux procédures et la reconnaissance d’un statut juridique et dédommagement des victimes c’est indispensable.

Plus spécifiquement encore, des droits sont reconnus aux victimes à touts les stades de leur prise en charge, et les agents de police judiciaire ont obligation de recevoir les plaintes déposées par les victimes et le cas échéant, de les transmettre au service territorialement compétent( art.15-3).

En cours d’instruction, la partie civile a le droit de demander au juge d’instruction touts les actes pour manifester la vérité. Une vérité qui est nécessaire aux jeux de la population.

L’accompagnement, c’est encore aider la victime, besoin d’un secours financier, d’autant que la plus part sont de milieux social économiques peu favorisés. Traumatises par l’événement, la situation injuste dans la quelle elles ont été plongées.

C’est en fin pour favoriser les “Droits de la défense de la victime”. Sa seule faute est de vouloir exercer son droit de manifester.

 


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