VICTIME DE LA SOCIÉTÉ.

Patrick à raison, victime de la société, il attend légitimement réparation. Qu’on l’aide, qu’on le soigne.

La victime absolue a tous les droits. A nous de tout faire pour lui. Pis encore, Quand le patient consomme une grand quantité de médicaments, habituelle pour lui, mais supérieure à ce que son organisme peut supporter.

L’idée de que une victime préfère souffrir à tout le reste, sa famille, le travaille, la vie même.  C’est un scandale!. L’opinion publique doit faire tout pour que le sentiment d’urgence sort de l’anonymat.

Les projets mis en place échouent plus fréquemment, et ce n’est pas la précipitation le responsable de l’échec, car une grand proportion de patients ils ne peuvent pas supporter sa vie.

C’est pourquoi il est, du point de vue de la prise en charge de traiter ou pas dans l’urgence. Le seul intérêt de prendre en charge les demandes en urgence, évidemment de appliquer les moyens disponibles, et dans le cas familiaux de prendre leurs enfants en charge.

En sélectionnant les patients qui ont le plus de chances de supporter jusqu’au bout les contraintes du traitement, et il y a d’autres enjeux, économiques, par exemple.

Les politiques( les pouvoirs publiques) son critiqués parce que ne font pas dans la mesure des moyens disponibles.

Comme tout demande de soins, la nécessité s’étudie sur des critères médicaux de gravité, alors il s’agit de savoir pourquoi Patrick à besoin d’aide et cela consiste à analyser à quoi sert cette demande dans  le contexte où vit Patrick.

Ceci permet de faire un diagnostique, et d’adapter une première réponse thérapeutique en conséquence. Patrick c’est définitivement malade, incurable, puisque les médecins, ont tout tente, et que rien n’a réussi.

Abandonné à son triste destin, si on considère pas que il est un patient à soigner. Et prendre en charge sans ainsi l’abandonner à son triste destin.

Les politiques ne savent marcher que sur une jambe, ne le voir comme une victime est tout aussi boiteux que de ne le voir que comme un échec de la société.

Semble alors de décider de quelle jambe on va se passer pour marcher.


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