MISÉRABLE

Après avoir fouille dans une poubelle, d’une boulangerie, dans la rue principal de Barcelone. De qu’il sort du fond d’une grand poubelle, ses yeux suintent la haine.

Les regards sur lui, des gens lui font faire son numéro habituel, il à l’aire  d’un homme désolé, et pathétique. Il soulève ses mains sur sa tête en mimant le désespoir. Il prend le sac remplie de nourriture, l’inévitable menu du jour, plein de mouches, qu’il savoure déjà.

Il est envahit par la sensation de ne pas faire quelque chose de mal, pas bon non plus, et il se dirige vers sa voiture, il devient relax. Il veut essayer de se rappeler le temps où il en a fait des vacances, avant il étais un homme passionné, intéressé par son travaille et sa famille.

Mais en ce moment il fait sa vie seul,  il voit comme les gens le tournent le dos, et pour calmer le froid, les bouteilles de vin, lui donnent la chaleur. Ce soir, il a un soudaine envie de pleurer, il se dit:

– C’est n’est tout de ma faute! je écoute la haine des gens que font mine de me détester, j’ai affronté les démons, maintenant je peut regarder la comédie humaine!.

Disons que je passe une expérience, l’ors que je tout perdu,  je vois comme les gens son gênes, certains se méfient, certaines ça le fait marrer!

L’amour, le travaille, j’ai connu ça, mais se mal terminé.

En fouillent des images dans mon Samsung, j’ai regarde le passé, mais là, va falloir mettre de la distance. Une fois disparus les espoirs, j’avoue avoir de mal ce temps ci.

Je veux crier, je suis un intellectuel précaire, ça me rend dingue, le pire, c’est l’impuissance, tout le monde s’en fout!

Personne lui prête attention, mais ses mains tremblotent, le regard triste.

Lendemain, il à été retrouvé dans sa voiture, il n’a pas respiré.

Et si demain tu est celui qui est là. Là, tu commence vraiment à te méfier, c’est évident. Alex, refusait de se faire aider. Le pauvre, nous sommes touts de névrosés. J’ai promis de ne pas l’oublier.

Les chemins de la vie, où prolifèrent les contresens majeurs, cette ivresse de la vie, cette involuté  d’exister, tout simplement ” l’humain trop humain”

Tel qu’il existe, n’est qu’un brouillon de lui même.


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