MÉDISANTS

Je refuse de m’inquiéter des médisants je dirai, médisants, de votre espionnage je ne donnerais pas un clou!

Une dame qui  est peu estimable, moi je ne l’accepte pas, menteurs!  Je vis dans l’allégresse, plutôt que deux rats usuriers, trois faucons dégénérés qui remplissent un panier avec un fromage de grue. Mon angle d’un con, la vie d’un et un mortier d’un plume.

Là il à une plume: “Écouter un chat se prendre à pleurer si fort le jeudi après le diner. Je vis un croix travers un pierre, de bon grâce ma fille m’apporte un gâteau, et la joie est sans mélange, plus qu’on ne le saurait dire”.

La cherté de la vie et l’entretient d’une famille qui ne se laisse mourir ni abattre, s’est acharnée à me nuire, vous avez fait partir les gens de bien de m’on entourage.

A Madrid, je vis au milieu des richesses, mais la cherté du temps m’a tout ôté, et malgré cela  je trouve une joie que j’en perds la cervelle, que je ne puis que m’évanouir.

Il me semble que je suis un petit peu émue et troublée ce qui me plut beaucoup que nul alors n’y  voyait goutte, que j’entends très mal, et ma vie décline. Ce sont les signes de la mort ou me souhaitent déjà de l’autre côté?

Une vie languissante, tel est mon destin. Les nobles gens n’en ont nulle pitié! Plus d’un me l’a racontée, et je l’ai moi-même trouvé écrit dans un livre.

Ne vous étonnez pas, car qui aime est triste et anxieux , je suis très attentive à ce genre de signal.


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