L’été c’est tomber amoureux

Je te regarde sans te faire remarquer, c’est mon langage de prétendre q’un de ces jours tu connais ma curiosité de connaitre ta vie.

Susan, est une fille de vingt-cinq ans, en un hôtel  à Calella en Espagne, elle a fait la rencontre d’un espagnol sur la plage. Mais Susan doit partir chez elle, en Australie.

Quelques jours plus tard elle écrit un imail pour Carlos, serveur dans le même hôtel où Susan à travaille depuis cinq mois :

“Nous avons rencontré la souffrance pour les autres, nos amis, sans penser que nous avions tout. Depuis lors, je t’observe; sans toi me voir.

Les ténèbres sont parfois une création, car même si je ne veux pas, je pense à toi. Je me perds dans mes rêves et je perds la tête. Je veux mourir dans ta souffrance!

Donnez-moi  une des vos mains pour que je puisse peindre le ciel, même si c’est n’est qu’un rêve. Laisse moi prendre l’univers en bleu, juste pour vous donner une étoile brillante.

Laissez-moi vous dire, et je continuerai à frapper le sablier, pour vous rappeler le temps que nous avons déjà perdu!

Vous avez décidé que je devais perdre, avec un douleur dans mon cœur tu  m’a fait comprendre que rien est éternel, eh bien ma vie et mon être ont était divisés.

Les vagues de la mer ne nous rendent pas les secrets! Le silence fait partie d’un au revoir, pas une éternité.

Tu me manqueras”.

Une semaine plus tard elle reçoit la réponse:

“Ma chère Susan, le temps n’est pas perdu, mais le soleil se lève tous les jours. Ne brisez pas l’horloge qui nous à donné le temps de nous rencontrer. Viens me voir l’été prochain, je peindrai le couleur du ciel avec toi!

Nous visiterons le Phare de Calella, le parc Dalmau, et récupérerons les étoiles filés au bord de la mer. ne m’oublie pas, ce n’est pas un au revoir si ce n’est à bientôt”.

Susan est heureuse, Carlos compte les mois.


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