Le spectacle de voir le monde de façon chic, l’art de découvrir un pays, il est voyageur, pas de touriste, il reste zen, avec style. Sa manière de visiter le monde, avec sa valise, Martin c’est trouve dans un petit hôtel au Vietnam; il découvre un toilette sans porte qui ferme, pas de fenêtre, et pas de savon pour les mains, et il veut pas manquer le buffet, au risque de n’est pas aimer. Par après aller visiter les cafés local du centre; depuis son enfance qu’il rêve de être voyageur!, il veut contempler les chemins parcourus dix ans plus tard.
Il s’habille un peu bourgeoise, côte “love”c’est tout gentil!; lendemain dans un marchant des journaux il prend la presse française et n’hésite pas à lire les problèmes actuelles, ce qui le chiffonne parfois, mais il préfère celui qui lui raconte un histoire dans un café du village. Il aime les femmes qui ne vont fureter dans la consommation. En attendant judicieusement l’amour de sa vie, pour buter contre elle avec un “ont est pour la vie”. Mais parfois il s’arrête et dévisage l’interdit, et il se dit “décidément je ne comprend pas les femmes de aujourd’hui”.
Depuis qu’il avait regardé “Le père Noel est une ordure”, pense qu’il faut faire comme s’il existé pas, mais bon, il sait qu’il est dans la vie réelle. Il réalise que dans les années 90 aurait été un voyageur pas comme les autres, et il est fière. Ses prochaines vacances seraient dans dans un petit village de l’Italie, avec demie-pension de luxe et un Spa avec des bains bouillonnants, où il ne se fait pas depaser par un simple touriste. Martin regardé autour de lui, seul, fatigué, le compteur du présent le rend dingue, à qui se plaindre!.
Par des chemins différents, il emprunte parfois des raccourcis, un regard par ici, des sourires indifférents qui le mettent en pétard, avant l’ultime étape de son voyage, il se dit qu’il arrive en fin de quarante ans, c’est lourd. mais parfois il se sent pousser des ailes, et il va à,son retour déménager dans des lieux où la solidarité n’est pas un vain mot, qui va bien à sa tenue et un peu moins à son visage,où il n’est pas nécessairement de paraître un nuage, dans son sprit. Mais il écoute sa voix, au nom de les injustices. Il fallait juste revenir au sources il à gagné son ticket de rentrer chez lui.