LE SNOBISME

Parce qu’il ne se fait pas beaucoup d’illusions, il la connait l’humanité.

C’est le gardien de la écologie, il est défenseur de la terre. Il doit s’infiltrer dans les Élites du pouvoir, et démasquer la vérité.

Xavier n’a jamais aimé les intellos qui se la jouent. Chaque fois qu’on lui pose la question, il répond “que le Bossu de Notre-Dame, ce son truc.

Qu’il n’y a pas qu’une chose qui intéresse les élites, “la domination sociale”. Il y a des gens, de vrais gens, qui écoutent, qui aiment regarder de vieux films, main n’en font pas une arme pour écraser les autres.

Xavier plonge dans son rôle de matérialiste borné, parfois il se fait le beauf, que les autres veulent voir. Les intellos aiment se la jouer en toute liberté. Ils font l’alliance monstrueuse des spéculations financière, avec sa souche prétentieux, et ses visages des faiseurs de fric.

L’expression la plus bovine, l’air atterré, Xavier regarde ces snobs avec un haussement de sourcils, le compris, qu’ils sont entre eux pour défendre leur caste.

Xavier fait son discours: “La société, notre devoir est de contrôle, transforme les hommes en souris de laboratoire”, (la différence, c’est que j’ai les pieds sur terre), et il se lance dans son éloge face a ces élites héritiers.

N’hésite pas à dire les problèmes, à exprimer ce qui le chiffonne parfois, tel l’innocent bourgeois,(en apparence), Xavier sifflote l’air de “Mission Impossible”.

Xavier parcourt la salle, son regard en alerte. Il est vigilant, pour ne pas se remarquer.

C’est probablement ce qui lui permet de montrer quelque chose qu’ils ne savent pas encore, qu’il attend impatiemment qu’une secrétaire vienne le conduire dans le bureau du directeur général.

Découvrir qui c’est, le cerveau!, est cette mission. il n’est pas si souvent en contact avec du lourd de chez le lourd. Voir le vrai patron, face à face…

The Boss, avec bretelle de sortie vers un purgatoire doré par des indemnités très très confortables. Et des mâles et femelles qui lui souriaient le matin, toujours le “winner dans l’âme. Et quand les “winners sont au tapis, faut bien se relever”, toujours.

“Voilà, dans ce milieu, si on t’oublie, t’es mort”.”Il  y a de quoi se poser des questions”.

 

 


Partagez si vous aimez:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *