LE MARCHANT D’ART

Un regard dans le coin du miroir, au but de rue, je descend la fenêtre, je vois de longues

files d’attente aux arrêts de bus. La ville bordé d’immeubles flambants  et des vitrines brillantes, je tourne

à gauche, pour attendre la parti bas de la ville. des maisons presque détruites, des vendeurs accroupis sous

les arbres, ont étalé leurs brocantes aux portes d’un temple d’ou ils sont chassés.

Dans cette enfilade des encombrants une maison, avec un porte étroite. J’ai secoué mes bottes de la poudre

de l’aventure, soudain je me laisse emporter par la peur, qui me sort de ma torpeur.

Je suis devenu un marchant de tableaux d’art, j’ai laisse sans vois à beaucoup de gens.

Je visite la maison, la maison à trois étages, de style baroque, couloir qui sent le moisi, je vois tout de

cette misère. Acroches aux murs, des tableaux, on dirait des grands mâchoires de mammifères monstrueux.

Chacun d’eux est conçu pour déclencher un envie de vomir chez un homme,

Je respire profondement, un courant d’air froide passe par mes veines, je pousse un cris, et  je me demande

que je pourrait avaler d’immenses verres de bière, de vin, de champagne!

Mais rien va disparaître,  le sentiment de couler, dans cette atmosphère, je perd, cruellement, brutalement.

J’aime les créations artistiques: Peintres, sculpteurs, écrivains, mais elles ont disparu de que je suis dans

cette maison. Je suis devenu un être si mouvais, si buveur infatigable, je me fait penser à un bolide

aux pieds d’une marchand de pastèques!

La reponse est tombée, et j’ai senti que j’avais commis un sacrilege. Je vais rester ici, je me detourne une dernier

fois, et mêmes si tu ne crois pas! respecte ce que tu verras!

Je me suis mis à genoux, à plat ventre, et je me demande quand il viendra. Je commence à me sentir vulnérable,

dévoilant  mon âme sans défense. Mon corps se mettait à fondre, je essaie de ne pas résister.

On n’échappe pas au destin!

Je garde mon silence, je sent sa présence, il est la!

Il vient me chercher, le temps était écoulé, l’heure est devenu mon pire ennemi, Il est venu prendre ce qui lui

appartient depuis vint-cinq-ans, mon âme! Et je ne peut pas lui échapper!

Peut-on lutter contre -ce masque de la peur?

Pourtant il m’avait prévenu! l’homme lui avait voulu fuir, mais il est en danger.

Je sent à l’alcool de canne à sucre, mélangé avec un jus de fruits et du sucre.

Et pour la fin un verre de Whisky! et puis je suis parti avec lui.

 

The abuse of alcohol is dangerous!!

 

 

 

 

 

 

 


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