Le Grand Mensonge

Le soleil se levait à la pointe de Rome.

Ce matin-là, ressemblait à aucune autre. Sur ma terrasse, serrant ma tasse pour me réchauffer les mains, quelques gouttes de plui ricochent sur le sol. J’écrit sur ma tablette:

– Maintenant, le ciel était  couvert et à quelques kilomètres les nuages avançaient comme une vague entre le ciel et la terre. Sortie de ma voiture, je quittais le chemin pour dévaler la colline. En contrebas, les yeux  devenait presque impossible les ouvrir, la poussière soulevée par le vent, griffait mon visage. Je toussais de la fumée en croyait m’étouffer. Mais je ne renonça pas.

À ce moment là, sa femme s’approche de lui et dise: – Allons, dépêche-toi sinon tu serais en retard.

Il lui répond: – Ce n’est pas vraiment pas le moment de faire des blagues et c’est pas drôle.

Des gens comme moi qui travaillent sans compter les heures dont finalement tout le monde se fiche d’eux.  Sa femme répond: – Eh bien mieux vaut deux schmocks en vie que deux schmocks morts de faim.   Il dit: – C’est un point de vue raisonnable.

Le grondement dura quelques minutes puis le téléphone sonne. Marco prend l’appelle: – Alors, tu viennes? On t’attend. Il faut que tu viennes voir ça. Il répond: – J’arrive. 30 minutes, je serais là.  Je travaille pour les Carabinieri. Je suis criminaliste et parfois accompagne au commissaire dans quelques investigations. Arrivé sur place, les présents étaient anéantis par la complique du drame; Une femme pleure de ce qui était devenu de ses vaches. Un peu plus loin, les gens se regroupent.

Je regardait autour de moi, le commissaire me montra trois cadavres de vaches , séparément, et chacun à côté d’un trou profond où il n’y avait rien dedans. Seulement des vaches décomposés, j’ai observé qu’aucune trace de pas où de sang étaient  présent. Après cela je me suis songe le visage avec mon mouchoir de papier, en le mettant  dans ma poche de pantalon. Et comme toujours, je prétend avoir vu  quelque chose important, si important, que je dois faire le tour doucement. Je me dis dans ma  tête que je préférais grimper dans les montagnes.. Le commissaire s’approche de moi et me demande à voix basse:  – Quesqu’on fait?  Je regarde le ciel, je me dis que les orages vont être violents et avec le peu d’équipement qu’on à sur place, le meilleur serait de revenir demain.   

Lendemain au commissariat, je me dis, quelle force étrange a pu faire cela aux vaches?le commissaire m’appel d’un geste de la main et me dis de le suivre. Dedans sa voiture, il me raconte qu’à proximité du crime (les vaches mortes); Il y a une centrale électrique et qu’on doit aller faire un tour aux environs. A cinq kilomètres en arrivant  je vois au loin une espèce de cadavre qui le commissaire et moi sommes allés voir de près. On fait la découverte que ce sont des ossements d’un homosapiens, et ça n’avait rien d’avoir avec nos vaches mortes de façon étrange et anormal. Le commissaire donne la signalisation par radio à ses collègues..   On à soif.Le commissaire prend deux bouteille d’eau, me lança une et me dit qu’on rentre.Au chemin de retour on croise un 4×4 qui était en arrêt et un peu caché au bord de la route.   

Ont décidé de nous arrêter et très prudemment on approche, le commissaire prend son pistolet, moi je reste derrière  lui. Il ouvre la porte du côté du conducteur et cria; – Levez les main! et lui pointe avec son pistolet.  Nous l’amenons au commissariat et apprenons qu’il est archéologue. D’autres investigations mettent en lumière que c’est lui le criminel qui a tué toutes ces vaches. Il voulait acheter des terrains, mais ils lui semblaient trop chers, alors il a commis ce crime pour faire sortir les fermiers du champ afin de les rendre moins chers.

Et c’est comme ça que j’ai retourné à finir mon roman..


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