Le mot latin “ruga”, d’ou vient “rue”, c’est un espace de mouvement, de liberté.
Quand on n’a pas de logis, on vit dans la rue, quand on manifeste, ce qui est souvent le cas, la rue va s’exprimer. La rue dans le traditions françaises, c’est le désordre, et descendre dans la rue c’est s’opposer au pouvoir.
Elle exprime la contestation, sera-t-il un succès ou un échec?…Dans les rues rien d’un carnaval, les difficultés sont normales. D’affrontements à l’arraché, et il s’agit que de cela?
En effet il faut déceler et de savoir à quoi l’on à affaire, on voit bien que les jeux étaient faits, les comptes des voix sont oubliées. Dans “réconcilier” signifie “assembler” des personnes rassemblées pour décider ensemble. Et ce n’est pas le cas.
Et il sera temps que la classe politique, qui arrête l’affrontement et la dispute, ce n’est pas comme ça?
La mémoire, devant des accusations, car il y a danger à assumer, en général , les anomalies et irrégularités révélées. Car l’assomption d’un peu de réel, était nécessaire.
Je doit m’indigner contre les coups bas portés au bon français.
La séparation de deux pensées, au sens banal, quand on distingue deux personnes, c’est la “Discrimination”.
Sur des différences collectives, sont crées des hiérarchies fondées sur les pré-jugés, les discriminateurs pratiquent la confusion, une étiquette pré collée.
La rue, aujourd’hui, c’était en France le “contre- pouvoir” opposé à l’ordre conservateur et bourgeois.
On peut jouer avec ce mot “la rue”, puisque son origine même est digne du sens.