LA COMÉDIE DU POUVOIR

Un journaliste à envoyé à la rédaction en chef son papier rédige, lendemain il découvre, stupéfait, le principe de lui soumettre l’article et son acceptation de le relire, qui était choquant.

Voici ce qu’il à écrit à titre personnel:

-Nous sommes dans une situation où certaines hommes  et femmes peuvent en jouir pleinement au lieu d’être internes dans des hôpitaux psychiatriques. Vous pouvez les identifier à votre pays.

Ces gens gardent le pouvoir de jutger, de critiquer, de condamner, dans un rire un peu forcé, ils ne supportent qu’on puise faire passer ses problèmes familiaux avant le travail.

En tout cas, quand ils se trouvent avec brillante équipe en tête, dans une conjoncture turbulente, et en savoir que touts  ne souscrivent pas à cette version des pouvoirs. Ils font penser que tout le monde étais sur un siège éjectable.

Apprendre comment fonctionne  l’ État, ce qui est aussi compliqué que la Cité interdite en Chine. Pour exister au gouvernement, il faut apparentement n’en pas avoir idée, où il faut soit représenter une force des partis au pouvoir, soit appartenir à l’écurie personnelle du président de la République.

C’est un défaut, c’est s’isoler de la population; dans le conformisme ambiant, entre démagogie et électoralisme, il faut incarner le débat d’idées.  Franchement, n’y a-t-il pas des problèmes plus graves qui se posent aujourd’hui à la société: le déficit publique, emplois menaces, l’intégration, la perversion de 35 heures, la délocalisation …

Cela n’a servi qu’à aggraver dans l’opinion ce sentiment que si le pays décidément ne sait pas où il va il ne doit compter sur ses responsables politiques pour lui montrer le chemin du bon sens.

Certains sont impatients : et la révolution?  Qu’on soit d’accord ou non avec ses idées, c’est que les analyses et prévisions ont constamment été confirmes, peut-être, un fois encore.

Non, décidément le courant ne passe pas, nous sommes injustes. Dans la belle tragédie de Malraux il y ait un personnage, qui s’appelle Iago, se desséché de jalousie et murmure: “Sa beauté me rend laid”.

L’acteur politique a pour mission de fixer les fins collectives, la raison est à déterminer en quoi consiste le bien collectif.


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