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CEMENTERY

Philadelphie, février 1812.

Leurs tombes étaient mitoyennes, ils se retrouvent et partagent leurs souvenirs, souvenirs de si longtemps. Victoria est là après quelques années, cette nuit est son tour de raconter ce qu’elle ressent:

-Je suis pleine, pleine de contradictions!

Entoure des personnes qui nous regardent, je ferme les yeux et je vois les prétentieux de sa position social dans ce fichu cimentière . Aucun membre d’une famille royal voudrait un  ses tombes en gradin, avec ses estelle, obélisques égyptiens, et fléches gothiques. Chaque visite est un fardasse sentimentale, parfois pas méchant. Les romains se servaient de les urnes pour y mettre les cendres humaines, pour les emporter avec eux. Mais aujourd’hui … symbole païen pour les chrétiens.

J’ai eu une nouvelle rencontre, il était à coté de ma tombe, il était doté d’une tête en colère, mais l’aire adorable, la tombe avait besoin qu’on s’en occupe un peu, surtout depuis q’une joli femme lui apporte un bouquet de fleurs tout les jours. C’est trop pour moi! Je resté dans la fosse, je vois pas de raisons de sortir avant son départ! Hier au- dessus de ma tête, un ciel gris, dans l’obscurité, on se sont criblé, que voulez-vous faire  dans un fosse?, les étoiles, je les ai comté!

Parfois je vois un étoile strier le ciel, c’est drôle! J’aime siffloter en regardant le ciel infini! Autre fois quelqu’un m’a crié quelque chose, il était très loin, alors il ma montre un main, j’ai cligne les yeux, je imagine qu’il à compris, après il se retourné et il part, part si loin qu’il devient invisible.

Quand je serait parti, pour de vrai, je voudrais emporter un rose, avec un pince de jaune moutarde. Pour le moment, avec le sourire, supporter avec grâce, notre mutuelle compagnie. Attention! des gens qui se approche! Ou s’éloignaient prés  d’un endroit où la chaleur  prés des flammes et qui apprécie moins le froide distance du ciel. Au cimentière, quelques uns étaient aux anges, pour moi c’était l’enfer. J’ai tant de remords !

Le pétré est venu, je ne pas avoue.  Par ma stupidité, et je suis venu demeurer ici, après tout quand il s’agit de pompes funèbres, discrétion oblige. Peu importe. mais vous pouvais pas me laisser tout seul.

 

 


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