2030 LA FIN D’UN MONDE

2030, janvier. Quelque part dans le monde.

Le monde est divisée par la diabolisation et angélisme, comme des procédés des croyances primitives.

Les intelligences s’enlisent dans le gras de l’argumentation automatique ou “tout noir ou tout blanc”.

Ce simplisme, des délits d’opinion et des justices expéditives, donne une lourdeur d’une époque plus acte à censurer qu’à débattre.

Des trafiques d’organes prélevés sur des prisonniers, une monstruosité qui s’ajoute et qui avait pour vocation de devenir une exemplaire nation multiethnique.

Reste que le regard porté par le peuple est devenu celui d’une victime, qui persistent à ignorer l’accélération de syndromes dévastateurs pour la nation.

Une culpabilité insensée, souche d’une tenace politiquement correcte, obscurcit la lucidité des élites, dans un oublie de soi à justifier, dont les prémices sont déjà invivables pour la majorité  de ses habitats.

En restant sourds aux préoccupations indicibles des citoyens. Par une sorte de manichéisme inverse, aux prix d’une brutale transfiguration au nom d’un “humanisme dévoyé”.

En tout cas, il est stupide de nier ces phénomène, hommage au monde libre qui a promu ces valeurs, tant ils crèvent les yeux! Le monde d’aujourd’hui était comparable au d’hier.

 


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