Julia se levait et prenait un frémissement de bonheur à regarder par la fenêtre son jardin, tout était si beau!
Elle eut l’impression que le reste de sa vie serait dans l’ordre prévu et harmonieux. mais elle se reproche son rapport au monde à cause de ses manques d’argent.
Elle sait, que tous sommes égaux devant une commune nécessité, celle où nous nous trouvons de devoir travailler pour gagner de l’argent. Bien sûr, l’inégalité commence avec la somme d’argent reçue par chacun en échange de son travail.
Le mot ” salaire” dont l’étymologie rappelle le temps lointain où l’homme travaillait pour gagner son sel.
Si l’argent ne fait pas le bonheur de celui qui n’en a pas! Si l’argent ne fait pas le bonheur…rendez-le!
Continuons l’histoire…
Des oiseaux sur le bord de la fenêtre, elle s’approchait, les oiseaux s’envolèrent bruyamment du rebord de la fenêtre. Après, elle fait du café, et s’était assis sur la terrasse.
-J’attends le prochain week-end avec impatience, dit Julia.
Debout au seuil de la terrasse, examinait le jardin: -C’est une si belle journée!
Qu’elle savait de quoi elle parlait, et ramenait la chose à ses justes proportions.
Elle se disait:
-Quand on ignore, ce n’est rien, quand on le sait, c’est peu de chose! en pensant à tous ceux , illustres qui l’on été bien avant soi. Socrate, César, Molière, Louis XVI, Napoléon, Victor Hugo…
Que des grands hommes! Et pas une seule femme dans la liste? Bizarre!
De tout façon, et c’est une réflexion de pour bon sens, j’aime les week-end!