VOUS RISQUEZ D’ÊTRE FICHÉ

Ce dimanche soir, j’ai eu l’occasion d’inviter un ancien ami, que depuis quelques années je n’avais pas vu.  Mon ami s’appelle Nicolas, il est jeune, entre 27 ans, il est très beau. J’ai découverte qu’il travaille pour la vente de fichier(pour une société de téléphonie). Sans avoir l’air de l’interroger, j’ai lui demandé si l’information donnait une idée du client, et comme obtiennent-ils l’information.  Il m’a répondu :

– La vente de fichiers pour les renseignements, est si lucrative que les spécialistes sont appelés en renfort. Une petite consultation leur permet de découvrir le nom et l’adresse des possibles clients. Et puis, il dispose des statistiques géographiques, il savent quelle cartier, est bourgeois, modestes, ouvriers, et classes moyens. Les sociétés font la demande.Voilà! ce de la magie!

J’ai continue la conversation, j’étais très intéressant …

je lui sers un peut plus de vin, la conversation continue,  et puis j’ai demandé:

-Il y a longtemps,  j’ai fait la demande d’un crédit, on m’a refusé. Quelles sont vos critères?, pour une banque de me refuser, j’ai rien compris! car, je travaille, j’ai un salaire tous les mois.

-Tu sais…ce l’ordinateur qui décidé, il prend en compté les incidents de paiement, et touts les critère comme l’âge, revenus, endettement etc…

Si tu est bien noté ou non, mais, nous sommes victimes de ceux qui nous ressemblent, et de son aptitude! Si tu est divorcé, tu n’est pas bien noté, par contre si tu à des enfants… tu est mieux noté.

La conversation  étai très intéressante, mais Nicolas pense qu’il a beaucoup parle! rit et dit que c’est de ma faute, bien sûr j’ai lui ai servi beaucoup de vin!

Il dit au revoir et avec un clin d’œil, et me donner son numéro, il s’en va.

Mais, je suis resté avec le sentiment d’être manipulé par des fichiers clandestins! et que l’on s’obstine à nous cacher, sans nous donner de réponses.

Nous sommes chaque jour les victimes des dangers sciemment dissimulés, avec des droits cachés.

Trompés par des surcoûts imprévus, et on pourrait multiplier les exemples. Vous ne penses pas la même chose?, sûrement si.


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