UNE VIE

Edwige est beau, charmant, il porte des coutumes, selon la mode de l’époque, et il est initié aux amours alors interdites. Il est metteur en scène. Il trouve la vendeuse d’un librairie, et l’invite à manger. La jeune fille tombe amoureuse.

Edwige n’ai jamais aime personne d’avantage. Alors il veut payer le déjeuner de leurs retrouvailles, elle a faim, elle travaille dur. Avec sa fraîcheur, son physique, il était séduit. Il l’invite un soir à diner et lui propose l’épouser. Elle était élégante, la coquetterie même. Sous sa manière brusque et ses éclats de rire, lui bouillonne des sentiments.

Après des longues années, quand Françoise mourra dans les ténèbres d’Alzheimer, Edwige refusera de parler sur sa tombe.

Sans abandonner le cinéma où il collabore encore à quelques scénarios, il écrit de plus en plus, un portrait de l’une des personnes qui franchement était courageuse, et qui a aime pendant tout sa vie. De nous jours…Edwige observait le cours des choses, avec une hauteur humoristique mais désespérée.

Il écrit quarante ans plus tard: -“Je l’ai rencontrée un jour de 1950, ce jeune femme m’a plu immédiatement”.

C’est l l’histoire qu’il à volontiers racontée pour la postérité, comme à son habitude, ne perd pas de temps:

-“Dans un monde que l’on s’efforce de nous représenter pourri et lâche, je suis dans le camp de ceux qui crédit aux hommes de son pays, qui les croient capables de supporter les plus dures vérités”.

Je espère que je saurai rester jusqu’au bout un vielle homme digne de la femme qui m’a accompagné de la sorte,toujours souriant d’une certain réussite au féminin.

 


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