En tout matière de médias il y a trois tours de table pour contrôler une même chaîne, avec des impulsions politiques. Les chaînes dans un pâle d’imitation du modèle dominant.
L’Audimat donne les pires obsessions commerciales, et les préoccupations d’Intérêt général perdent et ne pèsent guère.
Une télévision sur le contenu politique: fait de idéologie dans un version de gauche et la version de droit, qui doivent connaître la même hérésie.
Un champs aux rapports forcés les plus dangereux, les propriétaires des chaînes non pas de droits de nommes ses mandataires, mais de les juger oui.
Un pouvoir clandestin, ou les médias ne peuvent résister, si non les dominer. Les exigences de la publicité, voila une logique de rentabilité qui fait le culte de l’Audimat.
Une télévision otage des corporations des annonceurs, puisque en annulant un budget, ils pèsent et disposent d’une arme autant plus rude.
Étrange paradoxe sur le terme démocratique, elle devrait suivre le mouvement des gilets jaunes, elle ne l’a même pas suivi. Or, face à ce phénomène gravissime