Pour Malcom, c’est la lutte, l’occasion de parler de droits civiques. Un jour, tout en nous parlant, alors qu’il nous a expliqué, qu’il comptait élaborer une stratégie pour repartir de bon pied.
Malcom avait dû appuyer sur trop de zones sensibles, puis au tour de la table, le naturel s’est installé.
Mais enfin pour la plupart un combat qui fait partie de leurs codes culturels, de l’immigration de leurs parents, raconter que le sentiment d’échec continue, alors un écho vide revenait dans le groupe. Il aurait tellement aimé que les gens comprennent que ce passé fait aussi partie de leurs codes culturels.
Les gens répliquent qu’ils sont discriminés, parce que de tout façon même avec des diplômes, ils n’aireront pas d’emploi!
Malcom, dit : “S’ils savent que vous avez connu les mêmes épreuves, il ne sera pas nécessaire de convaincre q’un geste généreux existe pour sa propre beauté, sans arrière pensée. Aimer, pardon, aider, sans attendre de retour sur investissement”.
“Je ne fais pas la leçon, mais si on peut offrir aux autres son expérience, dans le miroir de ses propres tourments , on s’aide soi-même.”
Si c’était vrai, mais pour Malcom, susciter le goût d’apprendre et éveille l’envie de faire quelque chose de la vie, avec l’espoir de les forcer à ouvrir les yeux a fin qu’ils prennent leur destin en main. Il leur dit que l’ambition de faire un effort, de changer pour changer leur vie, ne devait pas compter sur les autres.
Puisque cela ne viendra pas sans effort!
Il ne faudrait pas croire qu’il est fou, puisque les détails le rongeaient du l’interiur…
Il a compris que , parmi les nouveaux arrivants, certains éprouvent une grand besoin de solidarité.
De l’abattement, ils passent à l’exaltation.
Malcom, fini par remercier aux bénévoles qui donnent de leur temps aux associations.