Nous pouvions ne jamais nous connaître, et pourtant. Imaginez-vous tout ce que le sort dut permettre pour que ce soit nous! et ce que c’est grand, le monde.
Et notre amitié aurait pu jamais advenir, je crois découvrir en toi quelque chose de plus profond, tu ne serais pas un bonne personne si tu ne savais pas te faire un âme neuve avec un rien.
Ton image est là dans ma tête, tu ne te tourmentes point. Sans chercher plus loin.
Laisses ces choses qui t’occupent, et bien ici! voyons je ferais attention!
Mais tu sais, cette fois , je n’ai pas commencé, c’est toi…toi, moi, qu’importe?. C’est étrange, que nous vivons côte à côte, nous avons l’air de nous détester. Et ce n’est pas ma faute, et c’est n’est pas ta faute.
Seul au fond de cette ombre pleine de la promesse de ta voix. Mais tous les mots que tu me dis semblaient venir du bout du monde. Et ce pour cela sans doute qu’elle m’arrivait, cette voix.
La distance semblait accrue entre nous indéfiniment, que je me suis trouvé, devant toi, si désespérément plus seul qu’avant.
Ne soyons pas trop exigeants, il faudrait être moins sensible, ou bien avoir beaucoup d’argent, ne demandons pas l’impossible.
Nous devons être les êtres que nous sommes. C’est déjà beaucoup, côte à côte sur la Terre.
C’est de cette erreur profonde que maintenant nous souffrons, on ne sais pas tenir le monde derrière un front. Alors, adieu, je te laisse, tu peux partir, attends encore, il pleut…Attends que cela cesse.
Et nous allons partir, chacun avec son nom et nous serons parmi les autres. Ils peuvent souffrir entre eux et vivre sans trop se taire, c’est qu’on à mauvais caractère… ou que ont est trop intelligent.
Oh! sans doute il y aura toi, et il aura moi, et nous serons parmi les autres.