POURSUIVI PAR L’ÉCHEC

Le vendredi je avait commencé avec un élan d’optimisme rare, que je me suis retrouvé dans un café a Toulouse près de la frontière espagnole, elle es surnommé “la ville rose”.

J’ai commandé un panini au bacon, quand le serveur ma dit que si je voulais qu’un je devait dire “panino”; le serveur était italien, et m’explique qu’un “panini” était au pluriel, car il est italien! Alors que pendant je mangeait  un panino, je pensais a l’offre d’emploi que je doit passer demain.

Le soleil avait fait sont apparition, on dirait de croire voir le soleil dans un coin de la rue, je espéré que je fasse bonne impression, et que l’affaire soit dans le sac; a fin de compte, je ne suis qu’un dame avenante et polie, qui ne avait jamais traité autrement qu’avec sympathie et gentillesse.

Lendemain mon corps a tout bonnement refusé de bouger, comme dans un filme d’horreur, je suis resté toute la journée au lit, chassé parfois devant la télé. je prenais toue sortes de pilules, ma vie ne rimait a plus rien.

Dans ma pense tout devient noir, nous serions touts ruinés et la fin serait inévitable!

J’avais un lourde hypothèque, des crédits, et pas un sou de côte; et l’économie mondiale au bord de l’effondrement, alors que je restais devant les infos télévisés…sans y comprendre rien.

Le psychiatre, que au bout de deux heures d’entretient ma diagnostiqué que je étais dépressive, a envoyé la note de ses honoraires, suivi de beaucoup de numéros qui finissaient avec le signe euro.

Ça n’était peut-être pas votre problème, mais il ne faut pas être grand cler pour se douter que je cours à la catastrophe.

Il faut d’abord que je me récupère, je me dit que l’histoire vous a enflammé l’imagination…En fin j’ai regardé ma montre, et je me suis aperçue que je ferais bien de vous dire que moi je n’ai pas perdu le fil du tout.

En fin ce mon idée, voila pourquoi je vous parle.

Certes la situation économique nous préoccupe tous, bon vous savez qu’il n’est pas trop difficile de trouve des solutions; et ont peu pas demander aux gens de changer du jour au lendemain.

C’est le but du jeu! Mais ce à ça qu’on joue!

Mais Caroline avait un rendez-vous avec la banque, et ça se mal passé! Ils refusent une rallonge de crédit.

Ce n’est que mil euros quand même! Mais il fut croire qu’on ne peut même pas se permettre ça en ce moment. Les temps sont dures.

Ce n’était pas tant ce qu’elle disait que la façon d’ont elle le disait.

 

 

 


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