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Pan Peter

L’insécurité  la plus banalisée,  cette particulière façon; de comportement, abandonnés à la plus stricte irresponsabilité, pour simplicité que soit le constat. Mercredi après-midi. Quatorze heures. Je monte les escaliers, deuxième porte à gauche . Enfin la porte, mes bras me font mal, si je sonne personne vienne ouvrir, j’ai envie de casser la sonnette, de l’entrée de chez moi  jusqu’à la cuisine, je commence a parler.

Mais ont se sent pas toujours bien,.. Je rencontre  -ne t’effraie pas de continuer à rien faire…?  Je vais t’aider a grandir et devenir plus responsable. Cela n’a rien de mortel, mais il faut préserver ta santé mental, vis a vis de notre société, il y a des symptômes , vers la fin de l’adolescence les hommes peuvent paraître narcissiques , vivre à côté  la réalité.. quoi.  Ils prétendent être des adultes mais ils agissent comme des enfants gâtés. Des contradictions vous troublent , sur la mauvaise  pente.. Je pourrais t’apprendre comme l’abattre, ce monstre. Pour l’identifier cet homme-enfant trois manières sont avec lui.  Il est impersonnel, irresponsable, seul.

Ecoute; Devient un détective pour lui trouver. Sexe masculin, âgé de vingt-trois ans,et en conflit à l’égard de nanas. Niveau socio économique : moyen. La seul chose qu’il l’interesse a ses yeux  celui, embarrasse ment sur ses relations auprès des femmes, un fille dépendant , pour la rabaisser. Ont dit  ’estrés social agit comme catalyseur, mais qui parmi nous n’a pas  tenu tels aptitudes? . Je vais te donner un nom  Pan Peter, Il est difficile de penser qu’il est un voleur de premier ordre, grâce a sa pensée  fataliste, comportement bizarre,i l devient magique.

Si ont laisse la fenêtre ouverte il s’enfuira pour un pais a jamais. S’il vit encore en la maison, vous répondrait. Elle s’inquiète pour moi, vous connaissez les mères .Il pousse à sa mère comme pour se détendre. Maintenant  que tu la trouve .Sebastian, à te rend pas triste, s hommes qui fuient la réalité et qui prétendent ne pas être meurtri par sa solitude?. Rester un petit garçon tout la vie, voilà qu’ils disent..

Leur machisme, et leur narcissisme sont irréparables , en train de se développer. Ces ne pas l’essence de la vie, Sebastian fait la grimace ,et répond a sa mère : -Logic si on dit que ce ça la clef de la jeunesse, pour résister a les habitués de sociétés civiles.

Ils sont dangereux, ils sont partout,(cria la mère, irresponsables qui ne assume ses actes).

Les Pan Peter  sont dues sont partout, des générations de Pan Peter. Le fils :- Ne fais semblant d’être gentille avec moi; ce sera ta faute de  tout façon. Comme vous pouvez en douter, la discussion rêvait à la caisse départ. Lendemain  matin huit heure sonne le réveil  sonne et la porte aussi  elle dit: -qui sera il est tôt , j’ai pas pris mon café.. brusquement on tape a la porte comme des fous:

-Madame ce la police(  Marie ouvre)

-Mais quesque vous voulez?, derrière la porte se trouve Patric le capitan,  ,,

-Tu connais Shiba?,  et puis Bonjour.

-Bonjour mon capitan, si je le connais. ( capitan-Shiba disait que lorsque le vent soufflait  dans les arbres, tu mes soûles).

-Et alors . Dit Marie: -C’est votre problème, mon capitan?. Marie n’apprécie pas le langage de son supérieur, elle se contente de rien dire. A sa sortie de la salle bain, Sébastien  écoute la conversation. Et il imagina. Avie de costume noir, des lunettes noir, est a ses pies de baskets blanches sans lacets , dans une rue ou le silence se fait par tout, il prend de sa main droit un téléphone mobile et commence a parler:  -Descendants des esclaves, preux et érudits;  ont connu des époques glorieuses, mais la est une autre histoire… la mère lui parle:

-Bonjour Sébastien , ce a se moment la qu’il se réveille et regarde sa mère. -Le patron m’attend je doit lui suivre il y a un en quette je sais pas qu’elle heure je revient. Je me dépêche. (Sébastien est toujours admiratrice de sa mère, même s’il lui dit pas, sa fierté pour elle la garde bien profond dans son esprit). Au plus profond il regarde le salon qui commence a lui engloutir . Voila le monstre, il était devant lui, le miroir accroché à l’entrée son reflet lui souffle a l’oreille et lui disait,

-J’ai la patience  implacable de une araignée, occupe toi; ne te contente pas d’être un citoyen  exonéré d’impôts. Souvent le destin se tient  qu’à une saute d’humeur. L’histoire de lemaitre sur pression. De la part de sa mère la pression, commence donner ses fruits. Le vieux hypocondriaque est fini; quelque chose remuer dans sa tête. Les yeux enfoncés plus profondes que ses arrières pensées.  Quelles emmerdes, je suis tout un monstre mis au même temps elle ma jamais laisser placer un mot, je lui doit se que je suis devenue.

Je imagine, j’ai besoin de tout votre attention mon grand père me raconte ce sont des moments ainsi  une souffrance obscures sans réponses. Et Sébastien accuse le coup avec philosophie, en se disant “demain serait  un autre jour”. Sans prétendre faire l’objet d’une telle banalisation;  n’est pas neutre, elle supporte la monte en puissance de ce protagoniste oublié.


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