Il me était déjà arrivée de parler à des êtres du monde, jusqu’au le jour ou j’ai faits la connaissance de Minerve. C’est le jour que je compris que chaque chose a cependant son prix, donc tout le confort du monde ne s’appellera jamais bonheur.
Minerve, je fait sa connaissance un après-midis, dans ma consultation. Tout commence doucement, elle s’exprime avec une timidité, une voix tranquille, même si un hombre plaine toujours sur sa vie.
Que la vie après la mort n’existe pas, et que rien ne changera ce fait!
14 heure, de mardi de 1995, à Paris.
Minerve: – J’avais vécu ces choses extraordinaires, au point qu’il me arrivée de penser que je finirais dans un hôpital psychiatrique. J’étais un enfant timide et solitude, et qui était toujours en état de demande.
J’ignore si moi, était seule à penser que j’arrivait d’être dérangée mentalement. Même si personne partageait mon opinion.
Puis que tout le monde disait que je étais un enfant douée d’une vive imagination. Alors j’ai appris à ne plus raconter les choses que j’entendais, je les ai gardée dans un coin de mon esprit!
L’orque j’ai atteint la cinquantaine, beaucoup des choses avaient changé dans ma vie. Le terme responsabilités, les problèmes d’ordre financier et de sante. J’ai parle en restant assise, en proie à un terreur grandissant! Trop compliqué à résoudre… Je vivais à cette période dans le nord de l’Espagne, ma vie était loin de être simple.
Sa vie était loin d’être simple, en général par pure frustration. Des nombreuses personnes, se déchargent d’un souci, période étrange et solitaire de la vie. J’ai découvert que celui qui croit sincèrement être en train de craquer, de devenir fou, ne s’en ouvre à personne, tout le contraire de Minerve.
Mais lorsque nous nous donnons nous-mêmes la vie, que nous oublions le mal que nous nous faisons, et que nous donnons un sens , une objectif à notre existence. Nous accomplissons un miracle.
L’aptitude à envisager la vie sous un angle positif, c’est la joie.
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