Paris 1820, divisé en 12 arrondissements et 48 quartiers. L’installation et préparation du nouveau café prés de la gare à l’est de Paris. !Allons, venez ça touts!, nettoyer par tout!, surtout prenez garde de frotter bien les bouteilles. S’il un se casse, je me prendrais à vous!,. Allez! vous Louise, vous avez la taché de rincer les verres. Dis-moi, Louise, à tu un marie?.
Louise: – Quelle impertinent! .
Hugo: -Tachez par quelque moyens de le dégoûter de vous, cela ce qu’il fourrait!, je un personne fortement riche, qu’il serait fortement amoureux de vous, et il te donna-irais de vous , et souhaiterait de se voir ton marie. En fin il vous aime très fort, je le sais.
Louise: – Mais de qu’il me touche, il aimerais plus son argent!, alors je ne rien consentir jusqu’à au contrat de mariage, ou il doit me donner son bien!.
Hugo:- Laissez-moi faire, je un ami qui nous aidera à notre fait. laissez-moi faire…
Louise: -Euh?!
Hugo: – Quoi?!
Louise: -Je crois ce que je crois!, mais est tu sérieux?, m’empêcherez-vous de maudire les personnes comme vous?.
Hugo: – Et moi je pourriez parler de toi !, si non , m’empêcherez-vous de maudire ton image?.
Louise/ – Non, mais je vous emppechairait … de toucher à ma fortune, si je consenti au mariage!, te tairas-tu?.
Hugo ; – HA HA!, voila une serveuse qui m’incommode fort!,. Allons, rendez le moi!.
Louise: -Je ne vous ai rien pris! du tout!.
Hugo : – Allons, rende-le-moi sans te fouiller!. Ce que tu m’as pris!.
Louise: -Te tairas-tu!, Vous avez entendu!, je ne crois pas, vous êtes!…
Hugo :- Qui,vous,vous,vous?.
Louise: – Oui,oui, moi,moi, que veut tu dire cela?, et je me retire d’ici!.
Hugo : – Allez!, vite, voila qu’un de mes serveuses qui n’ont plus de vigueur que des poules!.
Louise: – Voila!, qui est une occasion qu’il faut prendre vite aux cheveux!. Assure ment, cela ne reçoit pas de contradiction, qu’il va y d’être heureux ou malheureux tout sa vie.
Hugo: – Ne vous mettez pas en peine. Fais, fais, je m’en vais en ville, à mon retour je ne veut pas te voir ici!.
Faut t’il en conclure que l’argent n’a aucune place dans l’amour.