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L’ILLUSION D’UN JOURNALISTE

La communication, j’étais inspiré, je pouvais servir aux autres, avec un lien naturel et simple qui unit et me connecte à ces extérieures; non sans mal, mais la quête de la vérité commence d’abord en soi. Mes questions, ne recevront jamais de réponse dans le temps, ce pour ce la que je suis toujours à la recherche et de la découverte.

La présence de mon public, qui imaginent que je dispose d’une connaissance et que en vraie il me suffit de poser la question à mon ordinateur, et le moteur de recherche, fait le reste. Comme si j’avais un boule de cristal sur mon bureau, je lui pose des questions, elle me répond. Toujours prête à me répondre, toujours prête à me écouter, il m’est souvent arrivé à des conclusions et de  m’apercevoir que de temps en temps j’ai réfléchit pas assez, et que je devait avoir mon raisonnement.

Pour définir ma place, néanmoins à essayer d’expliquer la nature des questions, mais je suis limité à saisir que des choses élémentaires, réglementaires; mon travail m’appris que le temps est d’une autre ordre que celui que nous connaissons en dehors des caméras. Les journalistes s’expriment à propos de l’actualité, pas conscients que de ne connaitre q’une infime partie de la vérité en général des choses, et ils sont bien affûtés, quand ils parlent de la place que ceux de ce monde doit occuper.

Cependant, je me suis fait gestionnaire à apporter d’être en contact , communiquer avec ceux du monde, et ce privilège ne me place pas au-dessus  des gens de la rue. M’écrie -je, sur le fait que nous vaincrons d’une façon ou d’une autre le malheur, la douleur, dans l’espoir d’une avenir plus radieux. Pour le moment il y a pas de vrai substance. Comme je dois faire pour supporter autour de moi leur aveuglement et le vide?. Puis, que je suis un homme, dont associé à un studio, exerçant avec succès la profession de journaliste, assez pittoresque, et tout se passe bien en apparence. Rire toujours et à mes yeux, le plus grand de tous  les miracles.

Le motifs poussent à être “bon ou mouvais”, dans ce métier. Nous sommes dictés par un question du goût, et gagner un place dans les médias de la communication actuel.

 


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