L’HOMME SANS OPINIONS

Gabriel n’aime pas prendre position, parce mettre son opinion en avant, pour lui est un acte de violence. Il se dit “Mets toi en colère au moins une fois dans ta vie”. Il y a peu des sujets qui l’intéresse, Il s’en fout.

Comment se mettre vraiment en colère? Car pour lui , c’est le néant, il reste impassible, il n’aime pas les conflit. Pendant sa visite chez ses parents, la semaine dernière, il a remarque que son père avait l’aire d’un fort gaillard de cinquante ans.

Il se rappelle de son grand-père, c’est qu’il disait: “Un homme autoritaire, droit, ne supporte pas la contradiction”. “Ça vous plaît d’humilier un vieillard?”. Et la discussion se termine.

Dans un autre temps, on cherchait des arguments pour justifier l’esclavage, des nous jours on se donne pas cette peine. Il suffit de payer un peu ses esclaves.

En tout cas, il était ravi, qu’il dépense bien son argent. Mais il a reçue une retenue de salaire de 300 euros pour un ordinateur en panne, un jour ou il à fait tomber son café, sans le vouloir, ce n’est pas de sa faute.

Mais le pire est arrivé un semaine plus tard, il sera viré, sans le payer son mois ni ses heures sup. Il va reprendre le chemin de la maison, sans même un regard pour ses camarades; le jour suivant il entend une voix, qui lui fait panser, en cette heure matinal.

Naissance du bien, non de celle du mal. Le besoin de écrire est très fort, lors qu’il prend le clavier il commence et écrit :

-La connaissance d’un mal:

Savoir flétrir les vices plutôt qu’enseigner les vertus, et qui nous conduit par la raison, à les contenir par la   crainte. Sans aimer les vertus il y a rien d’autre qu’a rendre les autres aussi misérables, insupportables et   odieux aux yeux des hommes et des femmes.

C’est-à-dire le désir de connaître le bien, non celle du mal; donc sous la conduite de la raison le bien nous   donne le bien, alors fuyons le mal. En tant que nous en avons  conscience, c’est une passage à une   perfection moindre, et ce la raison qui ne peut pas être l’essence même de l’humain.

Nous préférons la conduite de la raison un bien plus grand pour un futur à un moindre présent, et un mal   moindre présent à un grand futur.

Gabriel il tapote le derniers mots sur le clavier comme un pianiste sur son piano.

“Putain, je crée,moi, je crée!”. En attendant sa vie à lui ce tout de même de velours.

 

 

 

 


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