L’Esprit Spinoza

Arrive à la Gare Centrale d’Amsterdam , longtemps ,  je voulais venir, voir cette ville passionnante. Un rêve, fait réalité aujourd’hui. Cosmopolite et plein de vélos partout, ou les Trams et elles sont comme de frères et sœurs, les gens sont imprimés dans un paysage écologique et harmonieux. Sorti de la Gare Centrale, mon défi commence, trouver l’esprit Spinoza . Ou es tu?, dans ma tête je le fais appelle, dans ma promenade de découverte en découverte, des grands places, des petits rues, des canal  partout, des bateaux etc…

Voilà,la voix,  si profonde, Spinoza . Mais , ce tu qui je suis au mois?. Bien sure!. Je répondu. Et il  commence a me parler;

Spinoza–   Je résolu de chercher s’il existait quelque qui fut un bien véritable, capable de se communiquer , et par quoi l’âme renonçait à tout autre, un bien dont la découverte et la possession eussent pour fruit un éternité de joie continue et souveraine. (Pour comprendre, il vous faut lire le Traité de la réforme de l’entendement, Spinoza).

La surprise était fantastique, en fin, ce un façon de dire, submerge dans ma pense que presque je fais  renverser un vélo. Alors je commence mes questions:  -Vous avait déjà dit que toutes choses sont nécessaires, et qu’il y a  dans la Nature ni bien ni mal, pourquoi l’homme se ferra a vouloir être parfait?

Spinoza -Un homme parfait ,ce qu’un vrai  philosophe doit éviter ce de confondre, un être  réel avec un être de raison. Pour répondre à ta question,la représentation  naissent de les mouvements, mode,affection, et action de l’âme.

Je marche sur le port un marché,plein de belles choses à regarder, mais, je continue à l’écouter:

Spinoza -Divise en quatre: 1°Le seul , 2°L’expérience, 3°La croyance, 4°La connaissance. Car l’opinion nous conduit à  l’erreur, l’ignorance est une imperfection dans l’homme, parce par lui même ne conduit à rien de mauvais.

Je me suis arrêté  sur un terrasse , envie de prendre un café, et reprendre mon souffle. Je me dit, que les choses périssables n’ont pas été de tout temps, mais il y a un commencement, je parle par l’expérience de la chose aimée, mais si ont donné de l’importance à un objet, observé  si il y a de l’utilité dans l’objet.

Donc, ce de la faiblesse, à élire ou jeter. L’amour pour des choses périssables , ce l’entendement qui juge. Je mélange  le sucre dans cette tasse de café,  la voix et revenue,comme un souffle chaude dans mon oreille.

Spinoza:- Voila ,comme la raison nous avertit de nous séparer, la connaissance de ce dernier découle de ce de la première cause.

L’amour vrai naît toujours de la connaissance. Bien que la folie est installé dans ma tête, bien que je l’entend, je lui pose, un question, -Monsieur Spinoza,avait vous ressenti de la joie et de la tristesse?:

Spinoza: -Sûrement, afin de ne pas tomber,l a tristesse amène nécessairement avec elle toutes leurs misères, et il faut que nous faison l’un ou l’autre avec joie, car est insensé de vouloir réparer un bien perdu par un mal désire.

Monsieur Spinoza, le rire est nécessaire, puisque c’est certaine sorte de joie,.. (Je entend un rire , provoqué  par le mouvement de son esprit).

Spinoza: -Cela n’a aucun rapport ni au bien ni au mal. Je ne veut pas dire qu’on doit vivre parmi les hommes comme si  on vivait dans un monde étranger, en restreignant la liberté. Il s’ensuit qu’un changement est survenu. Il faut remarquer que seul l’amour devient excellent, qui est infini. 

Le soleil me donne une sorte de paix, de telle façon qui me est impossible déchiffre le vrai du faux, de penser que cela est arrivé. Il faut considérer à cet esprit son actualité, et non seulement son existence. Mais pour connaître la Nature de l’âme, recourons aux fantômes, quelqu’un croira que la fiction est délimité par la fiction et non par la connaissance. 

Mon mobile sonne, dix-sept heures pil, ce l’heure de retour à la gare. Mon train doit partir en vingt minutes,alors , je dis au revoir Monsieur Spinoza, vous allez mes manquer. Il y a pleins de sujets à discuter et des question a vous poser, mais notre trouvaille est plus que merveilleuse, et gratifiante, a mon retour j’aurais lu toutes autres ouvrages  de vous, dans l’espoir de vous retrouver dans ce cadre spéciale, d’Amsterdam.