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L’AVARE

Dans toute vérité de la vie humaine, soit privée soit publique, et lie à la plupart des observateurs. Ce que la nature sociale compare, est l’anatomie de seuls les grands calculateurs qui met en ouvre sont calme, qui font d’un homme supérieur son charme. La richesse de ses maîtres dans l’art, idéaliste de servitude, il se pensée dan les besoins d’un vie un temps de jouissance, à servir  au delà du monde réel. Conservateurs de ses biens, dans le royaume de Bruges, il n’a jamais trouvé un femme pour préserver sont  foyer.

Ne pas pouvoir  perpétuer ses coutumes, et de sa constante loyauté aux bourgeois de la riche bourgeoisie, son château avait des vitrages en quatre parties qui donnait une dimension arrondies, dernier vestige des anciennes coutumes, avec un jardin, dont la largueur égalait le château; les long des murs, étaient ranges .

Par cause d’un étincelle électrique, l’homme se lève et crie au feu, sa voix ainsi haut, ses pieds courent, qu’il fait craquer les planches. Les pas indécis d’un vieillard qui entraîné deux mondes avec lui. Ses yeux se remplissent de larmes, en regardant, cet homme et sa vieillesse, qu’il avait détruit sont noble château. Ces dernières images, lui obligent à se courber et fut tombé sur le poids de sa tête , soit cette l’esprit d’une organisation d’autre temps évidemment parfaite, soit la flamme qui dévorait son âme.

Ces images de toute un vie, ce spectacle de désolation,  pour toute la société, c’est un homme qui avait des fortunes, des millions, et ont lui jette au nez “l’avare”. Mais, il excité un profond sentiment de pitié chez les gens bien élevées, des hommes donc sont les hommes qui amassent leurs fortunes. Pour beaucoup des paysans il était seulement l’avare.

Faut-il conclure que l’argent n’a pas de place dans l’amour.


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