L’Assassin Imaginaire

Adrien, la d’où il venait, la mort était monnaie courante, il était fatigué, il avait entendu parler d’une maison au sud, entre le désert et la mer, un refuge idéal pour lui. Lorsque il est arrivé, il à trouvé le lieu au bout du monde, il se fait passer par un voyageur, il demande d’avoir une habitation, la femme est la propriétaire de la ferme, elle est très hospitalière. Elle lui propose un chambre, rustre, le vent sifflait tant sous les fenêtres, qu’on croyait entendre les loups. La femme avait un enfant, un garçon, il passait son temps à courir après les souris, la mère lui appelait son” petit chaton”. Les yeux du petit ses croisèrent avec les yeux de Adrien, comme s’il lisait la méchanceté de l’homme.

La femme lui demande s’il voulait de la soupe chaude, et s’il resterez log temps. – Possible quelques jours,répondit Adrien. Adrien est sous l’emprise des son imagination, et il se voit son couteau à la main, et il l’enfoncée sur la femme, il imaginait ensuite, qu’elle le plaide,  avec un simple murmure d’humanité. Ce n’était pas le premier crime imaginaire d’Adrien, mais cette fois il était fatigue. Elle lui demande! s’il voulait de la soupe!, il devrait descendre pour la prendre lui même, car elle fait pas le service aux chambres!. Ci-dessous l’enfant, se tenait là, devant lui, et Adrien ne ce  s’imaginer pas mettre fin à sa vie. Et il épargnait ce gamin, avec un certain soulagement. Dans la  cuisine, il dit: – la soupe sent très bon!, elle répondu; – merci!

Ce étrange, il se dit, dans ces visions, il y avait jamais des visages, seulement son couteau, et sa force physique. Il demande; – Le père n’est pas la?. Elle lui répond: – Le père et décède, un accident de voiture. Adrien se dit qu’il aussi avait perdu son père, Quant à sa mère, il l’avait à peine connu. Adrien détournée la tête, de son impuissance.

Cette la preuve de sa cruauté, de sa bêtise, toutes les réponses étaient là, il ressentait une peine à le voir devant lui. Une année plus tard, la femme, devient sa femme, l’enfant, devient son enfant, et lui le “romancier” de séries noires, qu’il était . Son épouse, lui demandait un jour: – Pourquoi tu n’est pas tué pour de vrai?

Il répond:

– Je suis un” tueur imaginaire”, je vois des meurtres, comme d’autres envoient des cartes postal! Elle lui dit: – À deux, nous serons plus efficaces! Et il marchait, un corps lové contre le sien, avec la certitude d’accomplir quelque chose d’important dans l’univers, et cette fois ce pas de la bêtise!


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