Les gens à cause du contact avec les machines ressentent une frustration causée par un dialogue sourd, cela est dangereux.
Quand la responsabilité des quelques certains métiers, sachant que aujourd’hui la machine est partout et plus complexe. Des millions des personnes travaillent devant un ordinateur, cet automate fantaisiste, d’ailleurs les spécialistes acceptent de considérer que les hommes ne sont pas êtres rationnels, si non des sentimentaux.
Bourrés des manies, l’homme au XVI siècle crois que le progrès technique va nous conduire vers la libération de l’humanité.
Et depuis on connait se méfaits, puisque dans notre monde moderne la pollution, les conditions de travail inhumaines, le trou d’ozone, la pollution de la mer… ils sont d’actualité.
À ne retenir que l’émergence de la nouvelle pauvreté , qui nous fait croire que la crise est passe. Il est désormais que de vivre, ou plutôt de survivre! Obligés de nous demander si la crise économique n’est rien de plus qu’une astuce, après tout c’est le système de valeurs de la consommation.
Le consommateur ne se comporte plus en machine prête à répondre il devient un caméléon, il est d’abord un produit des bouleversements sociaux.
Il se distingue plus par un statu mais par ses modes de consommation, il cherche plus le produit mais une identité. Le temps nous dit tout simplement, “aux facettes contradictoires, fini les clients fidèles”.
Dans les commandes en vingt ans, le consommateur est saturé par une offre pléthorique, en 1960, il prenait ce qu’il trouvait, en 1970, il achetait selon ses besoins, dans les années 90, il choisit ce qu’il aime.
Des nous jours, il devient un zappeur!