Pendant quelques jours, je me suis submerge dans des livres de politique, pour trouver la réponse. Et ne sachant pas si je trouverais un jour la vrai réponse, je laisse aux plus courageux de mes lecteurs.
Il n’est de richesse que d’hommes et vers celle des finalités du développement économique. Cela nous traîne vers le problème récurrent et au cœur de tout réflexion.
Laisser faire ou laisser passer: il faut choisir.
Pourquoi une telle pratique a-t-elle connu un tel succès?
Tout simplement parce l’ampleur est trop modeste pour susciter une forte résistance, par contre, le soutient extrêmement actif de lobbys industrielles remplissent les caisses de l’État.
Les États ne voulaient renoncer aux recettes fiscales de douanes ni aussi des généreux donateurs des partis politiques.
Les gouvernements des pays industrielles, actuellement opèrent une volte-face protectionniste si un intérêt politique vital est en jeu. Voilà une pensée très largement favorable à la libéralisation croissante des échanges.
Alors, la nature du libéralisme ce n’et que la liberté de faire ce qui lui semble bon pour elle-même.
Le commerce international condamne cette pratique parce seraient plus que compenses, par les pertes de bien-être des autres.
Le débat public des nations démocratiques aujourd’hui s’inquiète de la justice social où la libre compétition n’est tolérée qu’en des multiples conventions. Le défaut de gouvernement mondial de l’injustice est rentrée dans un chemin vertigineux.
De nous jours la concurrence est en compétition, ses règles sociales et fiscales ont t’ils les oublies? Comme si un gardien de zoo qui ouvrait les cages de lions, au prétexte qu’en vingt ans il n’a jamais vu un lion agresser qui ce soit!
L’homme comme facteur de production ou finalité de la production, comme instrument ou comme fin?
Il s’agit d’écarter toute dimension philosophique, morale, pour s’atteler à l’explication objective du développement économique actuelle.