LA MAISON FORESTIÈRE

Nous vivons de plus en plus froid, de plus en plus mesquin, un monde dans lequel la plupart des comportements qui sont moins accessibles à la pitié.

L’histoire de la maison forestière :

La maison était avec un toit de feuilles et possédait deux chambres, une salle de bains, un salle à manger, et une petite cuisine. Dehors il faisait sombre et gris, il n’y avait pas de lumière solaire, elle était au milieu de la forêt.

Dans le village ils m’avaient prévenu de que d’indicibles atrocités s’avaient été commises dans cette petite maison. Alors que je suis entrée, j’ai imaginé de torture, de sauvagerie, je pouvait sentir le mal.

Dans le sol, il avait encore de restes de sang, possiblement d’une blessure, cette un endroit ignoble. La puanteur de la mort, de ce que moi percevait, c’était une femme terrifie, enchaînée, son corps couvert de contusions.

La victime avait été battu, brisé, et morte depuis longtemps. La maison appartenait au médecin du village, qui avait ménagé la maison comme une  déguisement humain, pour attirer l’attention de ses victimes.

Je ne savais pas comme décrire la détresse extrême de les victimes qui étaient agressés par ce sinistre, mi-boucher de la Gestapo. Une sensation hostile palpitait dans ces murs.

La police avait découvert le tueur en série, et il s’était pendu dans sa cellule. Ils l’ont décrit comme un homme cordial, attentif, comme souvent les médecins ruraux avec les nouveaux venues.

Je ne l’ai jamais pensée, comme se douter de le penser maléfique, certains ils l’ont vu comme un chat qui aurait eu le dos arqué et les oreilles aplaties. Sans voir l’être démoniaque qui était en vérité.

Quand je quittait la maison et ressortis, le ciel crépusculaire était de la même couleur que mes yeux.

A présent je marchait en silence.


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