JASTER, LE DÉTECTIVE

Angleterre, 1951.

Pour vous raconter cette histoire je dois d’abord vous mettre dans la situation de mon époque. La défaite de Churchill, l’économie pendant l’entre deux-guerres, les travaillistes donnent naissance à le National Health Service, six ans plus tard, Churchill devient à nouveau le premier ministre, mais les conservateurs veulent préserver les avancées sociales, et la nouvelle époque commence.

Je m’appelle Jester, détective à Londres, collaborateur de la police à Londres, ils font appelle a moi pour résoudre des  cas qu’ils trouvent un peu compliqué. Londres le 22 de mars de 1951. Je puis vous dire que je commençait  réellement à me passionner par cette affaire, dès que entendis parler. Le meurtre sordide d’un  homme dans la ruelle de Regent Street:

-Le meurtre a donc aussi bien pu être commis par un femme que par un homme. C’est la suggestion du commissaire.

-Un femme?, j’avoue n’avoir jamais songé à soupçonner une femme d’un pareil crime!. Réplique le médecin, et lui nous expliqua: La position de la victime avait reçu le coup au moment ou il se tournait le dos et par le même à son tueur. Le commissaire nous invite à lui suivre à la direction de Carnaby, chez l’ex femme  de assassinée. Le commissaire nous don des informations à propos des morts:

-IL s’appelle Monsieur Bernard, ancien professeur de l’école de cartier, âgée  de 47 ans, divorcé, et depuis pas marié. Chez madame Corine Donald , à nouveau marié avec monsieur Clark Donald, le commissaire à commence l’interrogatoire:

-Madame Donald, avez vous tué votre ex mari?

-Non, évidemment! D’un geste elle écarte cette question ridicule.

-Précisément, Clark, mon mari, il ne peut souffrir certaines chose…et alors…

-Alors, quoi?!, exclamé le commissaire.

-Je craignais, qu’il, bien que un excellent mari, il à un tendance à prendre tout aux sérieux. Il se montre toujours jaloux de Barnard, et Donald ne pouvais admettre. Voilà un semaine, une querelle éclata entre eux, je passait la fin de la semaine  à la maison et fis tout mon possible pour les réconcilier! je lui expliqué à Clark que je n’avait pas commis aucun mal. Clark, devient plus menaçant de jour en jour.

Le commissaire hocha la  tête à plusieurs reprises. -Et vous craignez qu’il  la tue! Elle me regardait, elle parle:

-Je n’ai jamais cru qu’il … Je lui explique: -Sans la sotte présomption d’un assassin, c’est bien ce qui serait arrivé! Brusquement ! Clark est arrivé, son visage menaçant, convulsé par un fureur soudain, m’aide comprendre qu’n ex mari pouvait susciter sa colère. Il s’était assis en face du commissaire, son regard fixé sur sa femme, elle comprenait ce regard qui semblait vouloir l’hypnotiser. Il , conservant tout son sang-froid commence à parler:

-Le samedi soir la dispute a éclaté, le moment ou je suis arrivé chez moi, elle et lui son assis sur le canapé, ils boivent de la bière, et ils sont entrain de rire, et cela ma mis en colère! Donald, venez très souvent, avec des excuses, il avait gardé l’ancien appartement, le temps de son mariage avec ma femme. Cela devenait insupportable! je suis devenu en colère et je lui demandez de sortir sur le champ! Ce qu’il à fait de suite, et depuis je l’ai pas vu!.  Et je suis sorti, je suis rentré dans un bar.Voila! c’est tout monsieur le commissaire! Le criminel n’a pas l’apparence d’un insensé, je crois qu’il est dans l’ombre. Je continue l’interrogatoire:

-A quelle heure, monsieur Donald est rentré chez lui?, (je vérifiez d’un regard les papiers). 21 heures précis, et à quelle heure monsieur Clark est rentrée chez lui?…,  à 22 heures, le ticket de bus, trouvé dans la veste,(le ticket était dans un sac en plastique),  dit que monsieur Clark avait 2 heures pour faire son trajet! Il était proche de chez lui ou est t’il à côté de monsieur Donald?.

Monsieur Clark à exclamé: -Je me souviens pas!, j’étais tellement ivre, vraiment ivre! Alors, j’ai trouvé l’assassin! meilleur dit! le meurtrier!. Voila! pourquoi votre femme vous à mis le ticket de bus dans la veste!, cette elle qui à enfonce la tête de monsieur Donald!, (ma voix est forte). Monsieur le commissaire, les empreintes sur le ticket , envoyez les au laboratoire de suite! On trouvera les empreintes de madame !.

Le jour suivant, le laboratoire a confirmé que c’est  elle qui avait tué son ex mari, mais pourquoi?. Parce que ce n’était pas une femme désespéré, non, elle est un meurtrier! Elle voulait se débarrasser  des ces deux hommes , jaloux, et méprisants ! S’échapper des ses deux amants, et trouver la liberté!.

J’ai résolu ce cas, et bien d’autres ! , le commissaire m’a remercié de ma collaboration, et à ajouté qu’il m’appellera de que un nouveau cas se présente. Ce ne sera pas long!


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