Dans notre temps, il y a de l’injustice dans le bonheur.
Comme l’argent pour chacun de nous, le bonheur est une promesse, une arme à notre service et qui peut se retourner contre nous.
Malgré ce que dissent les riches, l’argent suffit à faire les bonheurs des pauvres mais l’argent ne suffit pas à faire le bonheur des riches.
La pensée sort de la vie, impossible de deviner ce qui sortira de la pensée. Cette faculté de penser à autre chose ou rien. Nous n’avons plus de héros, plus de maîtres, nous sommes entrés dans la culture de la distance.
Nous ne sommes déjà plus les mêmes. Si j’aurais été un autre, avec des idées différentes, enrichi et puissant ou abandonné de tous! J’attendrais que le temps passe. Franchement , il ne se passe presque rien. Parce que nos rêves sont immenses et que nous ne sommes presque rien.
Ce que l’ incertitude de notre liberté et des nos existences, échappent au déterminisme, entre l’ordre, la plus part du temps, et ma liberté qui c’est-à-dire qui ne peut faire pas grand chose.
D’autres ont pensé le monde. Je le pense moi aussi. Nous sommes tous fait de la même farine. Je ne suis pas de ceux qui pleurnichent sur leur époque.
Voilà comme je étais tombé dans le monde, j’avais vers les sept ans, Hitler prenait le pouvoir, mon père, ardemment républicain, le visage en feu, les yeux brûles par les larmes…je pleuré aussi!
Nous vivions la folie mais nous étions ivres d’avenir. Comment chacun d’entre nous peut devenir autre chose que la copie de toutes les générations qui les ont précédé!
J’ai rêve d’autre chose -malgré mon âge…Car j’ai vécu. J’avais envie de vivre, je ne tenais pas être bon; je ne tenais pas être mouvais.
Le temps qui passe et tout choix me semblait un suicide. je voulais changer l’ordre établi, fonder des empires, et être capable de les détruire, pour inventer autre chose, faire la révolution.
Je peux ouvrir des temps nouveaux! Plutôt que des morales et Psychologies, il y a des situations.
Nous sommes libres de notre destin.